Partager :
Une épicerie italienne de quartier, mais au format digital.

 

 

 

 

1 / pour commencer, une petite présentation de vous et votre parcours ?

 

Laure GUERET, je viens d’une formation design mode, j’ai fait plusieurs postes en tant que responsable logistique, responsable développement notamment dans le textile pro à Paris. Puis, y’a 1 an on a décidé de se lancer dans l’entreprise, et je suis la directrice générale de Quanto Basta.

 

Jordan ERRIGO, je viens aussi d’une formation design, j’étais designer industriel dans les produits technologiques, on essaie d’être assez polyvalent sur nos tâches, Laure et moi. Mais je gère plus la partie sourcing des produits parce que je parle italien donc c’est plus simple naturellement pour moi de communiquer avec les fournisseurs.

 

 

Votre parcours avec Initiative : 

 

2/ Par quel biais avez-vous connu Initiative Montpellier Pic Saint-Loup ?

 

Par la CCI, notre conseillère qui nous a mis en contact avec Initiative Montpellier Pic Saint-Loup

 

3 / Quelles étaient vos principales attentes ?

 

Être accompagnés dans la vie de l’entreprise financièrement, et le fait de s’inscrire aussi dans un réseau d’entrepreneurs.

 

 

4 / L’accompagnement proposé vous a-t-il aidé à atteindre vos objectifs ?

 

Oui, ça nous permet de commencer notre projet sur des bases solides.

 

 

4/ Recommanderiez-vous Initiative Montpellier à votre entourage ? 

 

Évidemment, sans aucun doute.

 

 

Pour finir et le plus important : QUANTO BASTA.

 

 

5 / Quanto BASTA en quelques mots ?

 

Une épicerie italienne de quartier, mais au format digital.

 

 

6 / Pourquoi ce choix de nom ?

 

Dans les recettes italiennes on retrouve souvent l’abréviation "QB" ça signifie un peu « mets-en comme tu le sens » et ça évoquait pour nous la spontanéité et la créativité

 

 

7/ Quelles étaient les motivations pour vous lancer dans ce projet ? Et pourquoi l’Italie en particulier ?

 

Jordan est italien, depuis qu’on se connaît, il nous a fait découvrir la culture culinaire italienne et c’était extrêmement facile de tomber amoureux de celle-ci. Aussi, on avait déjà cet attrait pour la gastronomie en commun et on voulait pouvoir parler de nos produits d’où le choix d’une épicerie plutôt qu’un restaurant parce que pour nous, c’est un autre type de travail.

 

 

8 / Le fait d’être si jeunes et déjà chefs d’entreprise, a-t-il été un frein pour vous dans votre parcours ? Ou plutôt une force ?

 

Ça a été une force parce qu’on est plein d’énergie, on a plein d’idées, on estime qu’on a cette facilité à s’adapter dans le digital et avec les réseaux etc. Mais c’est certain, qu’aux yeux des banquiers par exemple, il y a une nécessité pour nous par rapport à notre âge, notre situation financière de convaincre deux fois voire trois fois plus.

 

 

 

9 / Quelle est la leçon cruciale que l’entrepreneuriat vous a apprise ?

 

Jordan : la patience

 

Laure : Mettre de côté son impatience, parce qu’il y’a beaucoup d’acteurs en jeu et des fois ça pas aussi vite que l’on voudrait donc il faut savoir être patient.

 

 

10 / Votre parcours entrepreneurial en 3 mots ?

 

Laure : Prise de risque, liberté, recherche de créativité

 

Jordan : Vision, créativité, remise en question

 

 

11 /Quels conseils donneriez-vous aux jeunes créateurs comme vous qui se lancent dans l’entrepreneuriat ?

 

De ne pas lâcher à la première difficulté, ni aux suivantes, de vraiment s’accrocher et surtout d’y croire. Parce que dès lors que l’on croit en son projet, on peut y aller, mais si vous-même, vous n’y croyez pas, ça n’avancera pas.